La vie m’aura semblé bien trop belle Pour l’aborder de face
L’élégance native parée d’aussi jolis attraits Pour m’en faire une fée de confiance
La profondeur et l’éclat d’un regard Pour en soutenir la rigueur et l’invite
Le galbe et la connivence des ensembles Pour les apprécier comme ils s’engagent
L’éternel désir de célébrer l’âme de ma vie Pour payer le prix, content
Certes, je n’aurai rien renié de mes élans Mon art ou mon tort Fut de les pourvoir d'un emblème sublime, D’y surseoir, à la longue
Soutenir le désir tellement libre, Jamais maintenant, Nulle part, ailleurs, Pourvu qu’en moi, Cet entrain d'abandon, J’eusse bien voulu le garder en éveil, N’en accomplir, en tâcheron, que les écriture